« Tous à la salle ? D’où vient notre obsession pour les muscles ? »
L’obsession du muscle, symbole de la beauté ainsi que de la réussite contemporaine. Voilà le sujet qui revient sur la table, encore et encore. Mais heureusement cette fois ci, le traitement médiatique sera radicalement différent de ce que nous pouvons voir d’habitude aux informations. Il ne sera pas question de stigmatiser les pratiquants des salles de sports, ou encore moins de marginaliser leur pratique, mais au contraire de parler de cette discipline et des multiples façons de la réaliser. Et quand on entreprend une activité physique et sportive, ce n’est pas cette activité qui doit être pointé du doigt pour décrire le côté pathologique de celle ci, mais notre façon de la réaliser ! C’est ce que l’émission de RFI (Radio France Internationale) a intelligemment fait (et nous les en remercions sincèrement). Plusieurs auditeurs ont été invité à témoigner sur leur façons de pratiquer la musculation, allant d’une pratique structurante et structurée, à un investissement beaucoup plus pathologique, frisant de près avec la symptomatologie de la dysmorphie musculaire exprimée par une pratique problématique de l’activité physique et sportive. Accompagné du Pr. Guillaume Vallet, spécialisé en Sciences économiques à l’Université Grenoble-Alpes et auteur de « La fabrique du Muscle », nous avons pu discuter de ces sujets d’actualité, qui commencent enfin à intéresser de la bonne façon médias et entités publiques. En espérant que les choses continuent d’avancer dans le bon sens afin de déstigmatiser cette pratique, mais aussi d’investir massivement dans le sport-santé bien-être et mieux encadrer les pratiquants vulnérables pour la dysmorphie musculaire et les pratiques problématiques de l’activité physique.
Pour réécouter le podcast, vous pouvez le faire sur le site de RFI !
BODY-PSYCHE 
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